Etincelle Fuvelaine n°3 – Les preuves

Cette édition est disponible ICI

Voici les différents dossiers évoqués dans ce numéro : 

Editorial

  • « En démocratie, la promesse doit devenir un engagement » : ICI
  • Signature de la charte Anticor par Fuveau Demain : ICI

Recto : le clientélisme

  • Terrain de boules de la gare routière : ICI les jolies toilettes livrées en fin de mandat
  • La Boule Barquaise : ICI le bilan à la Barque de l’équipe en place, qui comprenait parmi les promesses non tenues « Requalifier le jeu de boules ».
  • La création du comité technique du Bel Age à l’été 2019 : ICI, après plus de 5 ans de mandat
  • Les gradins du stade Paul Prieur, livrés à l’été 2019 mais inaugurés le 25 Janvier 2020 seulement : ICI. Notez que si vous êtes assis sur les 2 dernières rangées  vous ne voyez rien !
  • Orientations budgétaires 2020 : ICI, 4 millions €uros, dont 2,2 de travaux et voiries.
  • Anticor : ICI le site national de l’association, ICI la signature de la charte par Fuveau Demain
  • Qui est le plus prioritaire : ICI le tract pour les La Barque, ICI pour Les Rajols, ICI pour l’Ouvière / La Bégude

Verso : les palmes du programme de Fuveau Toujours

  • Le Conseil Municipal des jeunes : ICI un extrait du compte-rendu du Conseil Municipal du 17 Octobre 2016 (en intégralité ICI) . 4 ans plus tard, le Conseil Municipal des Jeunes ne s’est toujours pas réunit …
  • Le non-cumul des mandats dans le temps, articles références :
    • Transparency International France, ICI, extrait : « Le Service Central de Prévention de la Corruption, prédécesseur de l’Agence Française Anticorruption, a d’ailleurs démontré que les atteintes à la probité commises par les élus adviennent majoritairement au-delà du premier mandat »
    • L’observatoire de l’éthique publique, ICI, extrait : « Un renouvellement régulier de la classe politique et une diversification des profils nécessitent aussi de limiter dans le temps le nombre de mandats. Si la durée médiane d’exercice d’un maire est de douze ans – soit deux mandats -, certains sont élus depuis plus d’un demi-siècle (par exemple Paul Girod, ancien vice-président du Sénat et maire de Droizy (Aisne) depuis 1958). Une limitation à trois mandats successifs permettrait d’assurer un équilibre entre l’efficacité de l’action publique, l’égalité d’accès aux fonctions électorales et le pluralisme de la représentation politique. PROPOSITION N°17 Limiter le cumul dans le temps à 3 mandats successifs. »
    • L’institut Montaigne, ICI, extrait : « Les enquêtes d’opinion menées régulièrement auprès des Français le montrent : ils ne souhaitent plus que les responsables politiques puissent obtenir à plusieurs reprises le même mandat électoral. Selon un sondage Odoxa réalisé en janvier 2016, trois Français sur quatre citent comme prioritaire une réforme sur l’application du non-cumul dans le temps. Un autre sondage récent d’Odoxa montre que 77 % des personnes interrogées perçoivent cette mesure comme un outil nécessaire pour encourager le renouvellement de la vie politique.
    • La banque des territoires, ICI, extrait : « Le tableau dressé par le rapport couvre finalement… presque tous les champs de compétences des collectivités ! Certes, sans surprise, deux champs dominent : la commande publique et l’urbanisme. »
    • Transparency International France, ICI, extrait : « Plus particulièrement, les jeux de données dont la transparence est essentielle pour prévenir la corruption et garantir l’intégrité publique locale sont notamment : – Les demandes d’instruction d’urbanisme, qu’elles soient refusées ou acceptées (permis de construire, permis de démolir…) – Les données des marchés publics »
    • Le courrier des Maires, ICI, extrait : « Le risque de corruption est présent dans de nombreux domaines de la vie des collectivités territoriales selon le rapport 2013 du Service central de prévention de la corruption (SCPC). Particulièrement sensibles : la commande publique et l’urbanisme. »
  • Pôle social, CCAS : subvention de 20 000 € au CCAS sur un budget de fonctionnement > 10 000 000 €, soit 0,2 %
  • Bilan à la Barque du mandat 2014-2020, ICI
  • Le non-renouvellement des élus : ICI la liste des adjoints aujourd’hui, seul Jean-Paul Blais n’est pas sur la liste en 2020
  • Le chiffre scandale : 30 000 € la place de parking au parking du jeu de boules. ICI pour une photo.
    • coût des travaux 950 000 €, incluant le déplacement de l’aire de jeux de la crèche de l’autre coté de l’escalier. Disons 850 000 € pour le parking.
    • 25 places de crées (37 avant, 62 après), soit 34 000 € la place
    • Ceci sans tenir compte des 4 ans de perdus à étudier la solution « parking enterré ». Une partie des 4 millions d’€ de ce projet a effectivement été dépensé : architectes, bureaux d’études, maîtrise d’ouvrage… Quelques centaines de milliers d’€uros supplémentaires, qui rapprochent le coût réel de la place des 50 000 €.

Actualités

  • Le vote par procuration : ICI